• Ils vont me rendre folle, mes deux fistons! Mon grand, qui a quatorze ans la semaine prochaine, n'a pas envie d'étudier. Ses seules paroles  pour l'instant sont: pffff et mouais! Et bien sûr, il sait tout sur tout et moi pas!

    Mon plus jeune (10ans et demi) a comme addiction le bavardage! Il suffit que je commence à écrire pour qu'il me raconte sa dure vie d'enfant, le dernier épisode "bonne chance Charly", ou encore ses idées sorties tout droit de son imagination. Il faut dire qu'il rêve de se rendre à l'école en sautant sur  les toits et en grimpant contre les murs. Il est plus sur sa tête que sur ses jambes. Si pipelette que je l'imagine bien avocat. Mais non! Depuis son plus jeune âge, il veut être vétérinaire. Magnifique métier.

    Par contre, il est le premier à lire ce que j'écris et attention si je fais une erreur de frappe ou d'orthographe, il est là pour me reprendre. Donc, entre le grand qui me réapprend à vivre et le petit qui me lâche pas, j'opte pour écrire la nuit.

    Mais qu'y a t-il de mieux que d'élever des enfants? Rien, à part que ma fille( 23 ans), m'annonce que je vais être grand-mère pour la deuxième fois. 


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  • Ouf, je suis à ma 300ième page dans mes cahiers de brouillon. L'histoire n'est pas terminée, de plus. Dommage que le nombre de pages diminue quand je reformule sur mon ordi. angry. Je ne sais pas jusqu'où j'irai, c'est ça aussi le plaisir d'écrire.


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  • Mon chapitre est terminé! Ce n'est pas qu'une partie de bouquin. C'est  une situation qui s'éclaircit. Je suis heureuse. Je ne sais pas ce que vous éprouvez quand vous accomplissez une chose qui vous tient à coeur, mais moi, ça me donne l'impression d'exister. Je suis prête à continuer la suite de mon livre. Si seulement je pouvais écrire aussi vite que mon imagination fonctionne...devil


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  • Bon, j'ai renversé ma tasse de café sur mon cahier de brouillonblush. J'ai dû décoller mes pages une à une. Mon livre est un peu folflorique, (brun, blanc), mais plus de peur que de mal. De plus, je suis qu'à une vingtaine de lignes de la fin d'un chapître. Mais pour définir un peu mon caractère, je ne me suis même pas énervée! Si j'avais dû recommencer tout mon cahier, j'aurais tiqué, c'est sûr. Mais, chaque difficulté surmontée me fortifie. Et puis un peu d'adrénaline, ça fait du bien. 


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