J'ai déjà retapé le quart de mon deuxième livre. Il faut que je m'arme de courage, car pour l'instant, cela me semble si peu! 

139 pages corrigées et reformulées! Beaucoup critiquent les écrivains d'être  fainéants, mais la rigueur est impérative pour aboutir à ce que l'on veut. De plus, promouvoir son premier livre n'est pas évident non-plus! 

Enfin, je ne vais pas me plaindre, car je ne laisserai ma place à personne.  Non, à personne. 

A plus...

Je pense à mon petit frère qui est décédé un premier novembre, avec ma belle-soeur, ma nièce et mon neveu. Un accident de voiture stupide. Il voulais montrer la tour Effeil aux petits. Pour nous, les belges, la tour Eiffel est une attraction sérieuse. Ils sont partis, une nuit, pour voir le soleil se lever à Paris. Une nuit, un évènement, un souvenir...

Le souvenir de vous, des larmes pour vous, l'espoir d'une erreur... Un deuil cadenassé au fond de mon coeur. 

Cent trente-cinq pages d'écrites et je ne suis qu'au début! Réécrire le livre me permets de modifier certains évéments mineurs ou des phrases mal conçues. Comme il me serait impossible de tout écrire en une traite, je devrai réexaminer à la fin. C'est le cap le plus difficile! Se relire éxige une concentration particulière. Je connais déjà l'histoire sur le bout de mes doigts et reprendre une erreur est travail laborieux. Je ne me sens jamais satisfaite, je craints les avis des gens. Mais les critiques rendent plus forte et c'est pas négligeable pour l'avancée d'un écrivain. Bon! J'y retourne! 

Je sais qu'il fait moche un peu partout, mais gardez le moral! C'est important.

Le Chroniqueur Jacques De Pierpont, sur Classic 21, raconte trois livre. Le premier, est celui de l'illustre Maxime Chattam, " La conjuration primitive". Le deuxième est d'un nouvel auteur, David Patsouris, " Cognac blues". Et le troisième est ... LE MIEN!

Voici le potcast de l'émission. En passant je remercie chaleureusement Monsieur Jacques De Pierpont. Merci!

C'est monstrueux! Je sais exactement comment se termine mon bouquin. Comme nous ne partons pas en vacances, les enfants ont besoin que je les bougent. Et, évidement, je traîne à écrire! Je pourrais les envoyer bouler de temps en temps, mais, c'est plus fort que moi... Le plus dur est de rattraper ce temps plus ou moins perdu! Bon, c'est décidé! Demain, je les perds dans un hall de gare! Ho, bon! Si on ne plus rigoler!